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1 mars 2018

Danseuses consacrées

 

 

1) Mireille nègre, une danseuse consacrée

 

 

Mireille nègre, une danseuse consacrée

Mireille Nègre danseuse consacrée

Mireille Nègre vierge consacrée
Elle fait partie Des femmes remarquables
qui s'adonnent à l'art comme pratique spirituelle

 

artactif.com -peinture: hommage à Mireille Nègre par GENEVIEVE S.

 


Sa vie, elle la danse avec Jésus. C’est la merveilleuse expérience qu’elle partage dans ce livre en méditant et en illustrant quatorze scènes de l’Évangile... Cet ouvrage est précieux par son contenu et par sa forme. Il fera du bien aux enfants et à leurs parents qui cheminent dans la foi. En entrant dans l’imaginaire spirituel de Mireille, ils retrouveront l’esprit d’enfance si cher à la « Grande » et à la « Petite » Thérèse... L’Évangile, raconté par les mots et les dessins personnels de Mireille, se livre dans toute sa fraîcheur et sa simplicité aux petits et grands enfants de Dieu ; ils peuvent ainsi redécouvrir, avec des pépites dans les yeux, l’émerveillement de croire. L’enthousiasme de se savoir aimés. Et - qui sait ? - avoir envie, eux aussi, de danser avec Jésus.
Mireille Nègre est née en 1943. Grièvement accidentée à l’âge de 2 ans, elle retrouve sa mobilité grâce à la danse. Devenue première danseuse de l’Opéra de Paris, elle se produit comme étoile internationale ; elle est, entre autres, la partenaire de Rudolf Noureev. Convertie à 28 ans, elle quitte la scène et entre au Carmel. Des problèmes de santé l’obligent à en sortir dix ans après. Instituée vierge consacr ée, elle contribue maintenant à l’évangélisation en offrant ses nombreux talents artistiques (danse, dessin, musique, poésie).

Préface de Mgr Jean-Michel di Falco Léandriévêque de Gap et d’Embrun
Postface d’Éric de Rus, philosophe et écrivain 
Biographie de Michel Cooléditeur et écrivain

Mireille Nègre et Éric de Rus présentent leur nouveau livre : "L'art et la vie : entretien", paru le 13 novembre 2009 aux Éditions du Carmel.

 

Mireille Nègre (nommée par Serge Lifar danseuse étoile à l'opéra de ... Sa mission : transmettre la beauté de Dieu ...

 

 

lienswikipedia.org -Mireille nègre
ses livres: recherche.fnac.com -Tous les livres de Mireille Negre
livres.rencontres.bardot.barbara.star.over-blog.com -"danser avec Jésus: Mireille Nègre médite et illustre l’Évangile
editions-salvator.com -Danse avec Jésus, Salvator, 2014
laprocure.com -Mireille Nègre et Éric de Rus présentent leur nouveau livre : "L'art et la vie : entretien"
babelio.com -Une vie entre ciel et terre
arbrealettres.com -Choix et secrets d'une vie Mireille Nègre Atlantica 15 Octobre 2005
livre.fnac.com -Dans les pas de l'ange, Atlantica, 2006
ebay.fr -Instants de vie... Mireille Negre Atlantica Priere et spiritualite Religion Vi 2005
librairiemeura.com -La traversée de l'ombre roman De Mireille Nègre 2001
abebooks.fr -Une vie entre ciel et terre Mireille Nègre Mireille Taub Edité par Balland, 1990
ebay.fr -Nègre JE DANSERAI POUR TOI 1984 - Desclée de Brouwer
laprocure.com -L'art et la vie: entretien Mireille Nègre Eric de Rus (dialogue)

autres liensbf.14art.free.fr -Des femmes remarquables qui s'adonnent à l'art comme pratique spirituelle
marleneionesco.com -productrice du film mireille nègre: une danseuse consacrée
gloria.tv -Mireille Nègre: une danseuse consacrée
wikipedia.org -Portail:Danse
wikipedia.org -Portail:Catholicisme
ina.fr/video -Mireille Negre et Michel Renault "La valse de l'empereur"

Peintures de Mireille Nègre:

atlantica.fr/livre

 

2) Sophie Galitzine danse corps et âme

 

 Sophie Galitzine est artiste-thérapeute et masseuse.
Après une licence de philosophie, elle est devenue comédienne et professeur de théâtre, puis elle s'est orientée vers l’art-thérapie et la psychiatrie transculturelle, un pont entre l’approche anthropologique et psychanalytique.


Sophie Galitzine danse corps et âme prolonge son spectacle "je danserai pour toi",  relatant sa conversion au christianisme. Voilà ce que j'en ai lu sur le site http://pianopanier.com/:


"Elle est jeune et pétillante, elle aime danser, se mettre du vernis à ongles, sortir dans les bars branchés, se montrer aux terrasses des cafés, debriefer sur le dernier film des frères Cohen, danser encore, avoir des amoureux… Vie normale de jeune active en somme, vie banale, vie parisienne.
A peine arrivés, des vapeurs d’encens nous guident vers la salle du petit théâtre de l’Essaïon. Non, ce n’est pas une expérience mystique – enfin pas tout à fait- qui nous attend dans cet endroit confiné mais le seul en scène de Louison, comédienne parisienne, qui nous raconte comment elle a rencontré le Christ.
Entre chamanisme, bouddhisme, spiritisme et catholicisme, l’actrice nous raconte avec humour son combat spirituel et ses questionnements. C’est un vrai défi d’aborder ce sujet-là et Sophie Galitzine le fait avec beaucoup de justesse.

La comédienne nous témoigne de sa foi comme d’une véritable libération. Contrairement à ce que l’on croit, le catholicisme est une religion du corps – elle nous rappelle d’ailleurs la sensualité du Cantique des Cantiques.
Sophie Galitzine rayonne, pétille, partage sa joie. Un très très joli moment.
Le spectacle se joue jusqu’au 14 janvier, alors vite vite vite, prenez vos places ! On a bon espoir qu’il soit prolongé à 
 à lEssaïon Théâtre".


Voyons maintenant ce qu'en dit Lacroix.com dans son article

"La comédienne, danseuse et art-thérapeute Sophie Galitzine prolonge, jusqu’au 14 janvier, à Paris, son spectacle relatant sa conversion au christianisme.
Dix minutes après avoir marché, crié, pleuré, tapé et dansé, seule, sur la scène du théâtre Essaïon, dans le quatrième arrondissement de Paris où son spectacle Je danserai pour toi (1) est prolongé jusqu’en janvier, Sophie Galitzine s’en vient à la rencontre de son public bigarré.
La jeune femme de 38 ans, mère d’une enfant de 9 mois, ne vacille pas devant la longue file qui l’attend. Ses pieds, à l’aise dans les dernières baskets à la mode, sont ancrés dans le sol ; ses mains aux ongles rouge vif, au chaud dans les poches de sa salopette ; son joli visage, empreint d’intérêt.
Pas de cri, pas de grandes effusions, que des murmures. La retenue tranche avec la liberté de la comédienne, quelques instants plus tôt, sur les planches. Sans détours, entière et authentique, elle y narrait non sans humour l’histoire de Louison, trentenaire parisienne engluée dans un milieu de plaisirs immédiats qui se convertit progressivement au christianisme, après la mort de son père, en 2005, et un passage par l’hindouisme.
« L’histoire de Louison, c’est moi »
Là, Sophie Galitzine était à nu. « À poil même », sourit-elle. « L’histoire de Louison est très fortement inspirée d’une histoire que j’ai vécue. Parce que Louison, c’est moi, souffle-t-elle. Avec quelques traits de caractères appuyés. Ce côté un peu brut de décoffrage notamment, libre. Je crois que cela rejoint le désir que j’éprouve aujourd’hui de retrouver la petite fille que j’étais, non embarrassée par son vécu. »
Née en décembre 1978 d’un père d’origine russe et de sa deuxième femme – sur quatre – et baptisée au sein de la communauté catholique, Sophie Galitzine passe une enfance dorée à Paris, malgré le divorce de ses parents. Adolescente, elle découvre la scène avec un professeur qui abuse d’elle, sous prétexte d’aller au bout d’une expérience théâtrale.
Pus tard, loin de toute pratique religieuse, elle passe son baccalauréat au lycée Montaigne, étudie la philosophie, revient au théâtre, devient animatrice télé pour la chaîne musicale Fun TV et dérive peu à peu vers ce qu’elle appelle « un comportement à risques ».
« Je n’étais pas une délinquante. Mais je cherchais sans arrêt mes limites : je fumais, enchaînais les relations amoureuses. Je suis devenue anorexique-boulimique… J’entretenais, avec mon corps, une relation d’objet à objet »,résume-t-elle.
Une conversion religieuse, source de « restauration corporelle »
Une relation qui se transforme, une dizaine d’années plus tard, lorsque la comédienne se convertit et se rend à la messe presque quotidiennement. « J’ai eu l’impression que le Seigneur, par l’Eucharistie, réorientait, physiquement, mes cellules. C’était une réelle restauration corporelle », s’émeut celle qui a choisi le corps justement pour exprimer cette « restauration » sur scène.
Ainsi, pour traduire la manière dont sa relation à Dieu s’est tissée au sein du monastère orthodoxe où elle a pensé vivre le reste de son existence, Sophie Galitzine se tait. Et laisse ses membres prendre le relais. Ils bruissent, se déplient, se délient pour se mouvoir, s’entrecroiser. Ils expriment l’indicible.
La recette d’une telle présence ? « Le corps est, selon moi, une manifestation divine », confie la danseuse qui avait averti d’entrée de jeu les spectateurs, en présentant sa représentation comme « l’histoire d’un corps. Et d’une âme. En fait, c’est la même histoire. »
« Établir un pont entre la danse et la religion chrétienne »
« Mon corps, c’est mon âme qui est visible », précise-t-elle aujourd’hui, à l’écart des planches. « C’est d’ailleurs pour cette raison que j’éprouve le désir aujourd’hui d’établir un pont entre la danse et la religion chrétienne », ajoute-t-elle en évoquant un projet autour du Cantique des Cantiques, ou les ateliers qu’elle dirige depuis bientôt dix ans en tant que masseuse et art-thérapeute – activité vers laquelle elle s’est tournée, à la mort de son père – à Paris.
« Je suis frappée d’y entendre certaines femmes me confier ne pas oser, par leur éducation, prendre soin d’elles, être coquettes, habiter leur corps. »
Elle se défend toutefois de faire de son spectacle – le plus gros succès de l’Essaïon depuis son lancement en septembre – une thérapie. « J’avais envie de parler de Dieu. Je ne pouvais pas ne rien faire de l’histoire que j’avais vécue. C’était quelque chose qui me débordait. » Quelque chose qui venait de son corp
s."
Son inspiration. Lila Djeddi, fondatrice du restaurant « La cantine vagabonde » à Paris

 

 

 

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